NOBODY IS PERFECT BUT MY BODY IS PERFECT :

« Doyle, je suis enceinte. D'un petit garçon. »
« Merveilleux »
« Lily, je t'emmène en Angleterre. On peut pas l'élever ici. »
« Tu sais que je te suivrai partout. »

Neuf mois plus tard..*ilestnéledivinenfant,chantantoussonavenement.* Les gens sont là, autour d’un berceau jaune poussin (berk.), les femmes d’un coté, les hommes de l’autre. Cette petite fête, c'est pour l'arrivée du bébé, qui se trouve dans un berceau, qui lui se trouve dans la nursery. Les hommes, eux fument des cigares tout en discutant dehors, les sujets de conversation ne sont pas les même, pour les femmes et les hommes… Pff, ce genre de scène se passe dans les contes comme dans la Belle et le Clochard, mais pas dans la réalité. Peut êtres dans la haute société et encore, de nos jours on envoie un faire part et c’est tout, un baptême pour les croyant, et pour d’autres une fête, ou une fête prénatale. Mais rien de tout cela ne sait dérouler pour Liam Sully Gray-Forbes ce jeune homme né à trois heures du matin, après des heures de travail de la part de sa mère. Pour le plus grand bonheur du couple. C’est comme ça que tout commence, dans les contes il y a « il était une fois », mais pas là, quoi que si vous y tenez tant je peux le mettre, mais cela ne servirait pas à grand-chose. Enfin, passons. Après son arrivée au monde Liam, fut mis en soin maternité et au bout d'une heure il pouvait voir ses parents. Le garçonnet, restera deux semaines à l'hôpital puis il fut ramené chez lui, par ses parents bien évidemment. Pas dans une grande maison, ni un immense villa dans le cœur de Londres. Oui vivre dans ces petites choses en plein Kansas étaient impensable pour eux, alors ils avaient achetés un studio à leur mariage, dans Londres, quitte à se ruiner. Ils ont perdus tout leur argent là dedans, pour un bien être bien trop coûteux pour eux !

Après la naissance, le couple s'est installé à Londres. C'est pourquoi Liam ne devint pas mangeur d’hamburgers professionnel. Non, c'est devenu un gentleman anglais, so preppy. Enfin, c'est vite dit. Liam est désormais âgé de trois petites années. Il marche, il dit quelques petits mots et petites phrases, comme tout enfant de son âge. Seulement très rapidement le bonhomme devient la tête de turc des bacs à sable. Il se fait rabaisser par ses camarades, moquer des filles, écrire sur le visage lors des voyages scolaires et sorties. Rien à faire, c'est la panique chez les éducatrices, terrifiées à l'idée de voir un garçon aussi timide et renfermé sur lui même. A cette époque, on plaçait cela sous le signe d’une insociabilité, oui, les maîtresses trouvaient cela tendance et attribuait cette "maladie" à tout individu trop martyriser. Liam a donc fait le tour des médecins, tous. Ils ont tous abandonnés, pensant qu’il était trop renfermé. C’était juste un petit garçon plutôt sérieux à l’école et très attentif qui ne préférait pas parler plutôt que de dire des bêtises.

En primaire , pas d’amélioration. Bon, maintenant il essaye de se défendre, mais en vain, et se fait presque piquer le goûter. En fait, c'était plutôt le reflet de sa vie familiale. Il s'est longtemps sentit à mis à l'écart, abandonné par ses deux parents constamment au travail ou à la recherche d’argen.. Un jour il fait scandale à l'école en hurlant au milieu de la cour, et se fait convoqué par le directeur de l'école avec sa mère et son père

« La situation est un peu confuse pour moi. Votre fils a clairement décidé de faire une crise d’hystérie quasi-depressive dans la cour. »
« Liam, pourquoi tu as fait ça ? Tu vas être puni. »
« Maman elle a dit que je peux le faire. »
« PARDON? Tu l'écoutes pas ou quoi Lily quand il te parle. »
« Doyle t'es pas mieux t'es jamais à la maison. Un moment de fatigue c'est tout. »
« Hmm. Je pense qu'on en a fini. »

Après cet incident il s'est fait passé un savon, comme de nombreux autres. Cacher son picbille de maths derrière la télé de peur d’être puni. Après ses années de primaires, plutôt très prolifiques, ou seulement en sport un peu moins, ses parents, désespérés, le laisse entre les mains expertes d'une nourrice. C'était mieux que rien, me diriez vous. Elle lui a fait la vie dure, mais bon, vu son dossier c'était couru d'avance.

« Liam, tu dis plus bonjour à ta mère. »
« J'ai pas envie de parler. »
« T'as fait quoi comme connerie encore ? »
« J'ai pas fait de conne.. »
« Menteur. »
« J'me suis embrouillé avec des gens.»
« C'est qui eux? »
« Des gens j’te dit maman. »

CONFLIT. Le voilà au lycée. Ces trois années vont être à la fois les plus terribles et les plus essentielles de la vie. Rentré dans une académie plutôt prestigieuse avec bourse, il fait la connaissance de ces supers tâches de fils de bourges. Bizutage et paris débile s’en sont suivit. C’était un jeune plutôt agréable à l’œil jusqu’à ce qu’on lui fasse comprendre que pour rentrer dans un groupe il fallait accepter ses paris débiles. Il a donc été forcés de jeuner, puis lorsqu’il refusait était limite agressé verbalement et physiquement. Il n’avait aucun pouvoir avec son nouveau gabarit très gringalet et face à autant de testostérones en face de lui. En conflit permanent avec ses parents il faisait tout pour se faire remarquer jusqu’à ce qu’il tombe malade à cause de son manque de poids. Très vite ils l’ont fait consulter le psy de l’académie ainsi que d’aller souvent à l’infirmerie se reposer pendant les heures de sports où il était dispensé. Ses études ont été légèrement interrompues par des heures de médecins nutristionistes et psychologue. Et un jour à l’infirmerie pour un compte rendu des visites et parce qu’il venaient encore de subir cet enfer, il a rencontré cette fille, aussi jolie qu’un soleil, qui lui avait rendu un sourire assez lumineux pour lui redonner de la vie et de l’espoir. Puis elle est venue une fois, deux fois… Ils ont sympathisés énormément, c’était une fille incroyable, un peu dans la même situation que lui mais en moins pire.

Puis le jeune a reprit confiance en lui, s’est remis au sport, a réappris à manger et à ignorer les gens commes ces bourgeois. Lulà, et son magnifique prénom avait cet effet révalateur sur lui. Ils étaient copains commme cochons et ont appris à monter socialement dans l’estime des gens, comme devenus comme des gens plutôt populaire. Liam avait grandit depuis cet incident et il faut le dire il était bien mieux bâtit et encore plus agréable à regarder. Elle était plus radieuse que jamais, mais très sollicité, Liam a fait cette connerie de la lsiser tomber et de mener une autre vie en parallèle de celle qu’ils s’étaient construites.

« C’est ta petite amie ? »
« Oui Lulà tu le sais bien, qu’est ce qui t’arrives, tu me poses sans cesse la question. »
« Tu sais quoi Liam, laisse tomber, barre toi. »
« Tu le prends comme ça, tant pis pour toi. »
« Pff..t’es con Liam. »

DOUTE. Il a commencé à se demander pourquoi elle devenait comme ces filles qu’elles détestaient. Elle changeait. D'autant plus en mal. Après cette rupture amicale il s’est bien vite rendu compte que la blondinette lui manquait énormément. Il avait fait un erreur et était encore trop peu courageux pour y faire face. Mais en fait leur dernière année lycée, ils se sont fait mal l’un à l’autre implicitement. Ils avaient toujours étés confiants et tout se crashait au fur et à mesure. Finalement il a réussi à avoir son bac, ce qui était bien prévisible.

« Maman, j’ai eut mon diplôme. »
« T’as pas l’air enthousiasme »
« Non en effet, si tu avais été là ces dernières années tu le saurais. »
« Arrête des jérémiades bordel ! »
« Oh c’est bon, je me barre d’ici de toute façon. »
« Tant mieux, nous on retourne aux USA.»
« Tu me rassures déjà. »

Oui, Liam a été reçu là où il voulait aller, et ses parents retournèrent aux USA. Il est parti du cocon familial et a quitté ses amis. Partagé entre sa passion pour la photographie et le journalisme il a décidé de faire les deux. Il étudie donc le journalisme depuis 3 ans et ol n’en a pas encore fini. Il a encore un master art à passer en même temps. Il s'est donc installé dans un studio moyen dans la ville. Et depuis, il a totalement changé. Il est devenu beaucoup plus matûre, plus gentlemen, il connaissait les vraies valeurs de la vie. Mais cette année il a emménagé dans un petit appartement bien sympa, et il a un travail en plus des études, photographe pour une petite galerie.

Depuis il vit avec ce manque incurable de revoir Lulà, il s’était juré de ne jamais la contacter mais ayant perdu tout contact il espère chaque jour ne serait que la croiser et lui exposer ce qu’il ressent. Les retrouvailles seront bien mouvementées.